Venues du fond des temps. On les apercevait quand on atteignait la lisière des bois, sur les hauteurs du Monjanel1, et que l’on surplombait la combe profonde où roulait le torrent du Deiro2 et sa formidable cascade.Elles avaient été conservées au beau milieu du Grand-Champ où courait un ruisseau impétueux, …
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