Des heures durant – suite aux pluies abondantes de l’automne – les odeurs de pourrissement emplissent les rues pavées de la ville, soulevant le cœur des quelques irréductibles bravant les nuages bas remplis de dioxyde de carbone ; il reste encore – les jours suivants – des volutes nauséabondes incrustées …
Lire la suite »