Catégorie : Dans les culottes des filles

La rubrique pas glamour que vous attendiez toutes

Au menu : omerta sur le clitoris

Le 10 octobre dernier, une quarantaine de militants, psychologues, sexologues et simples quidams, se sont retrouvés pour réaliser un crop circle1 représentant un clitoris géant, d’une longueur de 120 mètres, dans un champ de la périphérie de Montpellier. Cette mise en scène avait pour but d’orienter momentanément les projecteurs médiatiques sur le silence qui pèse sur le clitoris en Occident depuis plusieurs décennies. A quoi ressemble-t-il vraiment ? Il est bien plus grand qu’on ne le pense puisqu’il mesure entre huit et dix centimètres de long et trois à six centimètres de large ! En 1998, l’urologue et universitaire australienne Helen O’Connell ... Lire la suite

Au menu : si on se passait de soutien-gorge ?

Topo Et si au lieu de libérer les majorettes ou les nains de jardin, on s’occupait un peu de nos roploplos ? Laissez-moi anticiper vos craintes : vous craignez la gravité terrestre et leur transformation façon gants de toilette, vous faites du sport et ça ballotte inévitablement, vous êtes pudique et dès qu’il fait froid vous êtes toute en tétons, vos seins sont trop gros, trop petits… j’arrête là. Vous êtes-vous déjà demandé depuis quand les femmes portent des soutien-gorge ? Si on fouille un peu, on en trouve les premières traces à l’Antiquité, sous la forme d’un bandeau destiné ... Lire la suite

Au menu : Elles ont retrouvé le flux instinctif*

Par hasard ou par apprentissage volontaire, des femmes occidentales parviennent à retenir leur sang menstruel et à se passer de toute forme de protection hygiénique. À la clé : meilleure hygiène intime, économies substantielles, contribution à l’écologie et sentiment de souveraineté retrouvée. Voici leur méthode… La « continence des règles », cette capacité à retenir le flux menstruel et à l’évacuer comme on va aux toilettes est la norme pour les femmes des peuples autochtones. Mais en Occident – civilisation oblige ? – toutes seraient contraintes d’utiliser tampons, serviettes hygiéniques et autres coupes menstruelles. Toutes ? Plus maintenant ! Car certaines sont parvenues à retrouver cette ... Lire la suite

Au menu : nettoyage de printemps du plancher pelvien au plafond utérin…

Topo On sait bien qu’aucune d’entre nous n’est une véritable passionata du ménage, chères amies culottées, mais vous êtes comme tout le monde, il faut bien passer régulièrement un coup de balai ou d’aspirateur dans votre intérieur. Et « nettoyage de printemps » oblige, on sort les tapis, on récure, on rend notre chez-nous plus accueillant. Vous voyez venir la métaphore ? Non ? Par intérieur, j’entends votre maison, voire votre voiture.. mais qu’en est-il de votre intérieur corporel ? Ben oui, mes chéries, une cuite par-ci, un gueuleton par-là, du stress à la pelle ; on n’a pas souvent une hygiène de vie irréprochable, et ... Lire la suite

Au menu : Chlamydiae la sournoise…

Topo Encore un dangereux pirate de notre anatomie intime : le germe des Chlamydia. Certes, dans chlamydia il y a «ami»… et pourtant, ce germe hyper contagieux est tout sauf votre copain. Responsable de nombreuses infections sexuellement transmissibles, il est tenu pour responsable de la plupart des infertilités, aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Ce vieux briscard a du métier : il sait rester discret et vous laisse souvent sans aucun signe tangible de sa présence, RAS, aucun signe de maladie ! Malin… Du coup, vas-y qu’on se le refile dans l’allégresse et l’ignorance la plus totale, ... Lire la suite

Au menu : la sécheresse vaginale…

Topo … qu’il convient de différencier du « défaut de lubrification ». La première est liée à une perte d’humidité du vagin au quotidien ; alors que le défaut de lubrification ne concerne que les moments d’excitation et les rapports sexuels, sans être forcément couplé à une sécheresse vaginale. Vous suivez ? Tout d’abord, une phase de décomplexion féminine s’impose. Figurez-vous, les cocottes, qu’en France on n’ose globalement pas en parler, ni aux copines, ni même à notre gynéco. Sujet tabou. Alors laissez-moi vous rappeler que loin d’être un symptôme marginal, un sacré paquet d’entre nous est ou sera touché : près de 30% des ... Lire la suite

Au menu : les poux du pubis, ou morpions, espèce en voie de disparition !

Topo Au fait, tu sais comment le capitaine crochet est mort ? Non ? Ben, il avait des morpions… Le pou du pubis (morpion), ou « Phtirius inguinalis » si vous voulez faire péter son nom latin, était un des dommages collatéraux de l’activité sexuelle pour de nombreux jeunes sujets jusque dans les années 2000. Pas hyper fréquent, mais pas rare non plus, ils étaient plusieurs dizaines de milliers chaque année, celles et ceux qui se sont copieusement gratté les poils de la région génitale, voire même, chez celles et ceux qui ne se traitaient pas tout de suite, des aisselles, du thorax, ... Lire la suite

Au menu : l’infection urinaire courante ; la cystite

Topo J’fais pipi, sur le gazon, pour arroser les coccinelles, j’fais pipi… aaaayeu ! Cystite maudite : chaque année, 10 à 20 % des femmes se tapent une infection urinaire. (y’a aussi des hommes, mais beaucoup moins, car leur urètre est plus long que le nôtre et les cochonneries atteignent moins facilement leur vessie). Les symptômes ne trompent pas : pipi souvent, pression dans la vessie, faux pipi (2 ou 3 gouttes seulement), pipi trouble et qui sent le chacal mort, il peut même y avoir du sang dans l’urine. Attention, ces signes peuvent cacher une infection plus grave, c’est bien de s’en occuper ... Lire la suite

Au menu : le syndrome prémenstruel

Topo On connaît toutes différents signes désagréables avant d’avoir nos règles ou à l’ovulation. La palette des désagréments est vaste : nos seins sont durs, douloureux, on se gorge d’eau façon éponge marine, on se sent sans énergie, Georges nous tape sur les nerfs (y faut croire qu’il est particulièrement con et égoïste une fois par mois), on fait de l’herpès, on déprime, des boutons refont surface alors que merde, ça fait quand même quelques années qu’on pensait en avoir fini avec la puberté, on a mal au dos, au crâne, au ventre… J’arrête là la liste (non exhaustive) de nos ... Lire la suite

Au menu : la Candidose

Topo Bon, la plupart d’entre nous (qui sommes dotées d’un vagin, j’entends) avons déjà eu à négocier avec les armées de candidas albicans installées pépères in vagino avec la ferme intention d’y rester (3 sur 4 d’entre nous y sont confrontées au moins une fois dans leur vie). Le candida occupe naturellement les voies génitales et il sait se tenir tranquille, en bon coloc. Mais des fois, il prolifère, et c’est le bordel ! En gros, si ça gratte, ça brûle, et que des pertes genre lait caillé tombe dans la culotte, banco, c’est gagné. Dans ce cas-là, on a beau ... Lire la suite